You cannot register for this meeting

Environ 25% des receveurs d’organes présentent un rejet aigü au cours de la première année post-greffe. Le rejet aigü peut-être cellulaire (ACR), humoral (AMR) ou mixte. Au long cours, le risque de rejet chronique quelque soit ses formes impacte le fonctionnement et la survie du greffon et du patient. Il est difficile de trouver un équilibre entre les effets bénéfiques et néfastes de l'immunosuppression pour prévenir ou traiter le rejet. Des facteurs tels que les infections opportunistes et les tumeurs malignes contribuent à rendre ce défi toujours plus complexe. Par conséquent, les thérapies qui peuvent moduler les réponses allo-immunes sans diminuer la réponse immune vis à vis des infections et des cancers suscitent un vif intérêt. La photophérèse (ECP) présente un potentiel dans cette approche en transplantation d’organe mais le mécanisme d’action précis reste à determiner. Objectifs d'apprentissage : Fournir une vue d'ensemble du rôle de la photophérèse dans la transplantation d'organes solides et expliquer pourquoi il est important de comprendre son mécanisme d’action sur le plan clinique. Passer en revue les dernières connaissances sur le mode d'action de la photophérèse et la façon dont elle est utilisée pour traiter les receveurs de greffe dans différents scénarios cliniques. Public cible : Médecins, scientifiques, professionnels paramédicaux, infirmières, patients Organisateurs présents: Jean-François Augusto Eric Epailly Céline Goéminne Anne Elisabeth Heng Benjamin Renaud-Picard François Parquin